
[…] Parmi eux éclatantes personnalités; de si touchants destins. Keats a sa place, une des premières. Mort à vingt-cinq ans, après des années de maladie où il se savait condamné, cet adolescent sublime a laissé des poèmes d’une qualité si émouvante et si pure qu’on a écrit, parlant de la mort, que peut-être, depuis Shakespeare, aucune perte n’avait été plus grande pour la littérature anglaise.
André Chaumeix, Le Gaulois du 10 février 1923 – Retronews.fr


Philéas Lebègue, dans « La Nervie », Janvier 1923 – Gallica.bnf.fr