Faustula

FAUSTULA, par J. Ayscough. Adapté de l’anglais par L. Bocquet. Toute l’époque du bas-empire romain et le drame grandiose des débuts du christianisme revivent dans « Faustula ». Sur le fond historique, d’une scrupuleuse exactitude, l’auteur a su dérouler une intrigue passionnante, d’un tel mouvement que s’efface la notion même du passé. L’idéale figure de…



FAUSTULA, par J. Ayscough. Adapté de l’anglais par L. Bocquet. Toute l’époque du bas-empire romain et le drame grandiose des débuts du christianisme revivent dans « Faustula ». Sur le fond historique, d’une scrupuleuse exactitude, l’auteur a su dérouler une intrigue passionnante, d’un tel mouvement que s’efface la notion même du passé. L’idéale figure de Faustula, la vestale convertie, domine tout le roman, dont le succès ne manquera pas d’évoquer celui de « Quo Vadis ».

L’Echo de Rive de Gier du 17 août 1924 – Retronews


Faustula, par J. Ayscough. —
Intéressant roman dont les faits se passent au milieu du IVᵉ siècle. Faustula est une petite patricienne romaine, que sa belle-mère fait vestale, car elle est pauvre. Mais l’enfant aime un camarade de jeux, Fabien, jeune chrétien, qui la retrouve après des années de séparation. À la faveur d’une reprise du paganisme, sous Julien l’apostat, Faustula, devenue chrétienne, est ensevelie vivante, puis délivrée et mariée à Fabien. Roman vivant, fort au courant des mœurs et institutions du temps. Mais on peut lui reprocher, comme à tout roman anglais, des faiblesses de composition.

Ouest Eclair du 18 sepembre 1924 – Retronews


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