
Ce n’est pas une « nouveauté » que ce livre qui remonte à 1903. Mais il n’a rien perdu pour attendre de paraître chez nous. Les régions polaires de grand silence blanc où l’action se déroule ne sont pas de celles que transforme rapidement ce qu’on appelle la civilisation. Solitudes d’épouvante et de mort où le trafiquant de fourrures, dénué de tout, voit son héroïsme mis à l’épreuve. C’est un roman de l’énergie en même temps que d’amour. Léon Bocquet, qui a mis dans sa traduction ses qualités d’écrivain, l’a fait précéder d’une introduction où toutes précisions utiles sont données sur l’auteur.
Mercure de France du 1er mai 1948 – Retronews.fr

La Nation Belge du 26 avril 1922 – https://www.belgicapress.be/